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Ganglions dans le cou : comment reconnaître un ganglion cancéreux et quand s’inquiéter ?

Lorsque l’adénopathie est occasionnée par une otite, une angine ou encore une rhinopharyngite, elle se résorbe naturellement en quelques jours, c’est-à-dire le temps nécessaire pour que le système immunitaire élimine la cause de l’infection.

Certaines maladies infectieuses peuvent provoquer des adénopathies plus importantes ou plus généralisées. Cela peut être le cas de la tuberculose ou encore de la mononucléose. Parmi les autres affections susceptibles d’entraîner une inflammation ganglionnaire figurent l’inflammation des glandes salivaires, des lithiases dans les canaux des glandes salivaires, un goitre ou encore un kyste bénin. L’apparition de symptômes tels que des ganglions cervicaux est beaucoup plus rarement due à la présence d’un cancer sous-jacent.

Ganglion ou tumeur maligne ?

Les tumeurs malignes au niveau du cou sont souvent rencontrées chez les personnes âgées. Il peut s’agir d’un cancer originaire d’une structure adjacente (bouche ou gorge), se développant ensuite dans le cou, note le site MSD.  Cela peut aussi être un ganglion lymphatique atteint par le cancer, qui peut se former lorsque le cancer se propage (métastase) à partir de structures voisines ou de parties éloignées du corps. Ou encore un lymphome, un cancer débutant dans le système lymphatique.

Ces tumeurs malignes ne présentent généralement pas de douleur ni de sensibilité au toucher et ont tendance à être dures au toucher, semblables à de la pierre.

En combien de temps un ganglion douloureux dans le cou disparaît ? Et quand consulter ?

Toutefois, inutile de s’alarmer à la moindre présence d’un gonflement de ganglions. En effet, la grande majorité des ganglions lymphatiques révèlent une maladie virale bénigne qui va se guérir naturellement en seulement quelques jours. Il peut néanmoins arriver que l’inflammation ganglionnaire soit assez volumineuse, voire douloureuse. Dans ce cas-là, il est conseillé de consulter son médecin traitant afin qu’il détecte la pathologie sous-jacente et qu’il mette en place un traitement adapté.

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